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3. Comment devient-on pilote maritime ?

  • A la base tous les pilotes maritimes sont officiers de la marine marchande.
  • Pour prétendre devenir pilote maritime, il faut avoir accumulé une expérience de navigation hauturière d’une dizaine d’année sur tous types de navire et à tous les postes.
  • Puis il faut préparer et réussir un concours spécifique de chaque station de pilotage, en fonction de la zone d’intervention qui est la sienne. Préparer ce concours c’est apprendre toutes les caractéristiques de la zone géographique couverte par la station et les spécificités de la conduite des navires dans cette zone.
  • Une fois le concours réussi, le nouveau pilote maritime va être en formation pratique auprès des autres pilotes maritimes de la station pendant 5 ans. A l’issue il sera en mesure de piloter tous les types de navires qui fréquentent la zone couverte par la station de pilotage.

4. Pourquoi faut-il passer un concours pour être capable de piloter un navire dans un environnement portuaire, alors qu’a priori c’est une des missions du commandant ?

  • Un commandant de navire ne peut pas connaitre toutes les spécificités et les dangers des ports que son navire va fréquenter. Passer le concours de pilote maritime c’est devenir un expert d’une zone géographique maritime bien définie et un expert de la conduite des navires qui fréquentent cette zone.
  • Lorsqu’un navire évolue en haute mer, son commandant a pour objectifs à le faire passer au large de tous les dangers. Lorsqu’il doit faire escale, il va en revanche devoir passer à proximité de nombreux dangers. Se faire assister par un expert qui connait parfaitement ces dangers contribue à la sécurité du navire et celle de son équipage comme à la protection de l’environnement.
  • Un pilote maritime va quotidiennement guider navires et conduire leurs manoeuvres dans la zone géographique maritime où il exerce. Il a donc une meilleure connaissance de cette zone que les commandants qui la fréquentent de façon plus épisodique.
  • Se faire assister par un expert de la zone maritime concernée et de la conduite de navires dans cette zone, contribue à leur sécurité, celle de leurs équipages et celle des usagers du port, mais aussi à la protection de l’environnement et à la fluidité du trafic économique du port donc à sa rentabilité.

7. Les caractéristiques d’un navire c’est une chose, sa manoeuvrabilité c’en est une autre. Comment font les pilotes pour
connaitre les réactions d’un navire qui se présente parfois pour la première fois à l’entrée d’un port et avec des conditions météo qui ne sont jamais les mêmes ?

  • Les navires de mêmes types ont souvent des réactions proches que connaissent les pilotes maritimes, compte tenu de leur expérience de la navigation pratiquée pendant au moins 10 ans avant de devenir pilote maritime.
  • Lorsqu’un pilote maritime monte à bord, il dispose de beaucoup de données utiles concernant le navire (Pilot card). Il va échanger avec le commandant sur les capacités manoeuvrières de son navire et ses caractéristiques du moment (tirant d’eau, éventuels problèmes techniques…).
  • L’embarquement du pilote maritime se fait bien avant l’entrée du port ce qui lui permet si besoin, de tester les réactions du navire aux ordres de barre et de machine.
  • Les pilotes maritimes ont aujourd’hui la possibilité de s’entrainer grâce à des simulateurs qui reproduisent fidèlement les réactions des navires dans de multiples conditions.
  • Enfin un navire qui se présente pour la première fois sera conduit avec des marges de sécurité plus importantes encore que pour un navire connu.

8. Qui commande quand le pilote est à bord ?

Le commandant qui en toute circonstance reste le seul maître à bord.

  • Le pilote maritime intervient pour guider le navire lors des phases d’entrée et de sortie de port, conduire les manoeuvres d’accostage et d’appareillage et coordonner l’intervention des acteurs associés à ces manoeuvres (remorqueurs, lamaneurs…). C’est une mission spécialisée que le pilote maritime réalise en partie sous la responsabilité du commandant.
  • Bien que le pilote maritime intervienne sous la responsabilité civile du commandant, il peut être sanctionné et appelé en responsabilité pénale, que ce soit pour défaut de conseil ou pour n’avoir pas pris toutes les mesures que la situation impose.
  • En pratique même si le pilote maritime connait naturellement mieux que le commandant d’un navire, les dangers de sa zone d’intervention, il va toujours expliquer sa manoeuvre au commandant pour gagner sa confiance.
  • Le fait que pilotes maritimes et commandants de navires soient issus des mêmes formations à la base, contribue au respect mutuel.

23. Pourquoi l’obligation de pilotage est-elle assortie d’un monopole en faveur des pilotes ? Pourquoi refuser le principe de concurrence ?

  • Le pilotage est une mission d’intérêt général qui contribue à la sécurité des navires et des équipages, à la protection l’environnement et à la fluidité du trafic maritime dans les espaces portuaires dans lesquels il s’exerce, donc à leur rentabilité.
  • Les enjeux de sécurité et de protection de l’environnement imposent que tous les navires soumis à pilotage soient servis avec même professionnalisme qui ne doit pas être influencé / dégradé par des considérations économiques.
  • Pour autant la situation de non concurrence ne dois pas entrainer d’excès. C’est pourquoi la rémunération de la prestation de pilotage, qui ne représente qu’une partie du coût d’une escale, est discutée annuellement avec les acteurs portuaire et validée par les pouvoirs publics.
  • Rappeler que partout où il y a eu mise en concurrence du pilotage, il a été constaté une dégradation plus ou moins rapide du service rendu qui dans certains cas a généré des accidents et qu’à chaque fois il y a eu un retour à un prestataire unique.

Les navires de mêmes types ont souvent des réactions proches que connaissent les pilotes maritimes, compte tenu de leur expérience de la navigation pratiquée pendant au moins 10 ans avant de devenir pilote maritime. Lorsqu’un pilote maritime monte à bord, il dispose de beaucoup de données utiles concernant le navire (Pilot card). Il va échanger avec le commandant sur les capacités manoeuvrières de son navire et ses caractéristiques du moment (tirant d’eau, éventuels problèmes techniques…).

Les navires de mêmes types ont souvent des réactions proches que connaissent les pilotes maritimes, compte tenu de leur expérience de la navigation pratiquée pendant au moins 10 ans avant de devenir pilote maritime. Lorsqu’un pilote maritime monte à bord, il dispose de beaucoup de données utiles concernant le navire (Pilot card). Il va échanger avec le commandant sur les capacités manoeuvrières de son navire et ses caractéristiques du moment (tirant d’eau, éventuels problèmes techniques…).

L’embarquement du pilote maritime se fait bien avant l’entrée du port ce qui lui permet si besoin, de tester les réactions du navire aux ordres de barre et de machine.

Les navires de mêmes types ont souvent des réactions proches que connaissent les pilotes maritimes, compte tenu de leur expérience de la navigation pratiquée pendant au moins 10 ans avant de devenir pilote maritime. Lorsqu’un pilote maritime monte à bord, il dispose de beaucoup de données utiles concernant le navire (Pilot card). Il va échanger avec le commandant sur les capacités manoeuvrières de son navire et ses caractéristiques du moment (tirant d’eau, éventuels problèmes techniques…).

L’embarquement du pilote maritime se fait bien avant l’entrée du port ce qui lui permet si besoin, de tester les réactions du navire aux ordres de barre et de machine.

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